Caïn و Muchi à la Marbrerie le 18 janvier : live entre club music, rap et ambient !

La route vers un bon événement n’est jamais très loin mais pas toujours facile à trouver. Heureusement “The place to be” vous indique le chemin. Des présentations au concept, en passant par la programmation et ce jusqu’au public : tout pour savoir où vous mettez les pieds. Bienvenue dans notre focus événement.

Vendredi 11 novembre, au Positive Education à Saint-Etienne : des centaines de festivalier·e·s surpris·e·s et touché·e·s applaudissent Caïn و Muchi après leur live sur la scène 4. La poésie des paroles, les chorégraphies incarnées et l’intensité des basses ont réussi à séduire et impressionner tout le public.

Le 18 janvier, ce duo marseillais est de retour à Montreuil à la Marbrerie pour présenter leur live en avant-première au public parisien avant de participer au tremplin des Inouïs Printemps de Bourges (région PACA), le vendredi 10 février.

Caïn و Muchi est le fruit d’une rencontre artistique entre Vanda Forte – artiste marocain·e inspiré·e aussi bien par le rap palestinien, Oum Kalthoum que par l’ambient et la scène UK – et Sinclair Ringenbach, un producteur jouant avec les textures, le sound design et détournant les musiques club dans ses créations.

Après un premier EP Martyr ظلم, Vanda et Sinclair ont décidé de sortir leur deuxième EP WARDA وردة (sortie prévue le 1er février) qu’iels présenteront en live à Montreuil le 18 janvier prochain. Représenté·e·s par l’agence Bi:Pole (Belaria, Sherelle, Pablo Bozzi, Glitter 55…), Caïn و Muchi joue et jongle avec les sonorités, titillent le larsen et improvisent au grès des lieux dans lesquels le duo se produit. Iels nous réservent une belle surprise à la Marbrerie dont le charme réside dans son âme industriel et ses poutres brutes.

Le 18 janvier, Vanda Forte troquera son micro pour les platines en fin de soirée et proposera un set infusé de breakbeat. Le public de la Marbrerie aura également la chance de danser devant la sélection musicale de Kleopatra Divine, protégée du collectif Moonshine, qui met en valeur la richesse des musiques électroniques africaines allant de l’amapiano au gqom en passant par la batida et les rythme héritier des tambours.

Un mercredi qui s’annonce sous le signe de la surprise, de la découverte musicale et des percussions !

 

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Article écrit par Constance Bidaut.
Crédit photo : Diane Rigou-Chemin

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